Campi

L’exploitation Campi Laine

Mon mari et moi-même sommes installés en GAEC (groupement agricole d’exploitation en commun) Notre ferme se nomme « Campi » d’où le nom de notre petite marque de fabrique. Elle surplomb la vallée de la Roya dans les Alpes maritimes à la frontière Italienne .
Isolé au cœur des collines, nous avons une vue magnifique sur la mer méditerranée jusqu’au belles montagnes du Mercantour.

Nos brebis valorisent très bien ce milieu escarpé ou l’agriculture y est essentiellement pastoral. Nous « gardons » notre troupeau au gré des ressources en herbes sur les bas quartiers de colline au printemps, à l’automne et une partie de l’hiver. Elles rentrent en bergerie du mois de février à la fin avril afin d’y agneler (mettre bas) au chaud et mangent du foin et des céréales. L’été nous montons en estive qui se trouve à deux journée de marche de la bergerie, cette proximité nous permets d’y rester jusqu’au premiers frimas. Nos agneaux sont élevés sous la mère, ils seront vendus à la fin de l’été ou ils partiront pour la boucherie pour régaler vos papilles.

Mon mari et moi-même sommes installés en GAEC (groupement agricole d’exploitation en commun) Notre ferme se nomme « Campi » d’où le nom de notre petite marque de fabrique. Elle surplombe la vallée de la Roya dans les Alpes- maritimes à la frontière Italienne .
Isolé au cœur des collines, nous avons une vue magnifique sur la mer méditerranée jusqu’aux belles montagnes du Mercantour.

Nos brebis valorisent très bien ce milieu escarpé où l’agriculture y est essentiellement pastorale. Nous « gardons » notre troupeau au gré des ressources en herbes sur les bas quartiers de colline au printemps, à l’automne et une partie de l’hiver. Elles rentrent en bergerie du mois de février à la fin avril afin d’y agneler (mettre bas) au chaud et mangent du foin et des céréales. L’été nous montons en estive qui se trouve à deux journées de marche de la bergerie, cette proximité nous permets d’y rester jusqu’au premiers frimas. Nos agneaux sont élevés sous la mère, ils seront vendus à la fin de l’été ou ils partiront pour la boucherie pour régaler vos papilles.

Plus bergers qu’éleveurs nous pratiquons un élevage pastoral qui nous passionne. Toujours au coté de nos animaux nous vivons aux rythmes des saisons comme nos anciens et c’est très bien ainsi !

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