La race Mérinos d’Arles est réputée pour sa laine fine et gonflante.
Elle est apparue au 19ᵉ siècle dans le sud est de la France. Il s’agit d’une race ovine issue d’un croisement entre des brebis locales à laine fine et des béliers Mérinos venus d’Espagne.
Cette race est principalement concentrée dans la région Provence alpes Côtes d’Azur qui regroupe 90% des effectifs. Localement, cette race est appelée « Métisse ».
C’est une brebis de petit gabarit à la laine blanche et homogène. Très qualitative, sa toison lui permet de se protéger des agressions climatiques.
Cette race se conduit facilement, elle est calme, se dispersent peu ; elle est rustique et extrêmement maternelle. Elle a la faculté de « tout donner pour son agneau ».
La race mérinos d’Arles est l’emblème des grandes transhumances.
Nous possédons un troupeau de 650 mères et d’une trentaine de béliers. Les agneaux sont vendus à un chevillard qui les redistribue sous forme de carcasses dans des boucheries du quart sud-est de la France.
Nous gardons une partie des agnelles de renouvellement, les autres sont vendues chez d’autres éleveurs.
Nous produisons aussi des mâles reproducteurs pour la vente.
La race Mérinos d’Arles est réputée pour sa laine fine et gonflante.
Elle est apparue au 19ᵉ siècle dans le sud est de la France. Il s’agit d’une race ovine issue d’un croisement entre des brebis locales à laine fine et des béliers Mérinos venus d’Espagne.
Cette race est principalement concentrée dans la région Provence alpes Côtes d’Azur qui regroupe 90% des effectifs. Localement, cette race est appelée « Métisse ».
C’est une brebis de petit gabarit à la laine blanche et homogène. Très qualitative, sa toison lui permet de se protéger des agressions climatiques.
Cette race se conduit facilement, elle est calme, se disperse peu ; elle est rustique et extrêmement maternelle. Elle a la faculté de « tout donner pour son agneau ».
La race mérinos d’Arles est l’emblème des grandes transhumances.
Nous possédons un troupeau de 650 mères et d’une trentaine de béliers. Les agneaux sont vendus à un chevillard qui les redistribue sous forme de carcasses dans des boucheries du quart sud-est de la France.
Nous gardons une partie des agnelles de renouvellement, les autres sont vendues chez d’autres éleveurs.
Nous produisons aussi des mâles reproducteurs pour la vente.
Ce troupeau, reçu en héritage du père de mon mari, nous continuons sa sélection génétique avec attachement